Association du patrimoine artistique asbl

JEAN-PAUL EMONDS-ALT​

PHOTOGRAPHIES

CONGO 1956-1957

Dans le cadre de l’exposition des photographies de Jean-Paul Emonds-Alt, nous aimerions vous proposer une soirée Mémoire du Congo. Tous ceux qui ont un lien direct ou indirect avec le Congo sont les bienvenus en apportant si possible des documents antérieurs ou postérieurs à la colonisation belge: photos, enregistrements musicaux, archives…

Au plaisir de vous rencontrer ce vendredi 9 juin à partir de 18h jusqu’à je ne sais quelle heure? Nous nous occupons des boissons. Merci d’apporter quelque chose de comestible si l’on s’attarde…

Exposition du 19 mai au 11 juin 2017

Jeudi, vendredi et samedi de 14 à 18h.

http://mu-inthecity.com/2017/05/emonds-alt-photos/

Une publication est éditée à cette occasion de cette exposition

Textes de Pierre Loze, Léopoldville 1955-1960 et

Maximilien de Béthune, Un Éden africain 1933-1945

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ARIANE de BRIEY

Le vent se lève

exposition du 21 avril au 6 mai 2017

Vernissages jeudi 20 avril de 18 à 21 heures et dimanche 23 avril de 16 à 19 heures

Samedi 6 mai de 16h30 à 16h45
Lecture "Arbre pour mémoire", texte de Colette Nys-Mazure etdessins d'Ariane de Briey (Edition Signum). La lecture se fera en présence de l'auteur et sera suivie d'un drink de clôture

Association du patrimoine artistique 7 rue Charles Hanssens 1000 Bruxelles (Sablon)

jeudi, vendredi et samedi de 14 à 18 heures

www.arianedebriey.com

Araine de Briey s'est fait connaître par ses gravures, et bien sûr elle pratique aussi le dessin et la peinture, et même la sculpture, avec des créations textiles. Elle a une façon bien à elle de presser le papier et de traiter l'impression comme si elle devait atteindre, au-delà du papier, la rétine de celui qui le regardera. Il en reste une image qui dure et reste à l'esprit.

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Hippolyte Boulenger (1837-1874)

Exposition du jeudi 23 février au 1er avril 2017 à l'Association du Patrimoine artistique

7 rue Charles Hanssens (Sablon) à 1000 Bruxelles

jeudi, vendredi et samedi de 14.00 à 18.00

Cette rétrospective comporte une sélection d'une cinquantaine d'œuvres issues exclusivement de collections privées belges

Au milieu du XIXe siècle, dans l'ambiance sociale oppressante de la Belgique, en pleine révolution industrielle, Hippolyte Boulenger fut un artiste marginal en rupture complète avec l'ordre bourgeois et l'académisme dominant. Né à Tournai, de mère française et de père belge, il fut orphelin à seize ans. Il vécut brièvement auprès de sa famille maternelle à Paris et semble avoir alors pris connaissance de l'existence de l'école de Barbizon mais aussi des idées de la gauche révolutionnaire. Il rejoignit ensuite Bruxelles et tenta d'y survivre en travaillant sur le chantier de la rue Blaes tout en suivant les cours de peinture à l'académie. Mais il refusa l'enseignement dispensé alors par Navez et Portaels. Survint ensuite un épisode fondateur où le jeune homme, sans le sou, partit vagabonder dans la campagne à la recherche de sensations vraies et chercha ainsi à échapper à sa condition misérable. Errant comme Rimbaud le fera un peu plus tard, il se remplit au contact de la nature d'un sentiment d'existence et de liberté qui nourrira sa volonté artistique. Sa peinture connait un succès immédiat auprès des artistes et des amateurs éclairés. Mais le caractère rugueux et intransigeant de l'artiste lui aliène aussi la critique et les marchands qu'il méprise, auxquels il consent à peine à vendre ses œuvres. En contact avec les milieux anarchistes et révolutionnaires, il connait une vie de bohème et aidé par l'artiste Van Camp il s'installe dans une auberge à Tervueren à proximité de la campagne et de la forêt. Il sera rejoint par un groupe d'artistes, émules des orientations de son art vers le paysage et convaincus par les innovations luministes qu'il y apportait. Les privations et les excès de sa jeunesse ont précipité sa mort à l'âge de trente-sept ans.

Pierre Loze

Avec l'aimable participation de la collection Barat-Venker ainsi que celle de l'asbl-vzw De Vrienden van de School van Tervuren et de bien d'autres collectionneurs.

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Bénin 2016 : Atelier Africain du design 

Autour d’un fil

Pour cet atelier exceptionnel au mois d’août 2016 à Abomey, Martine Boucher a réuni douze tisserands et cinq experts pour les confronter à un fil. Il ne s’agissait pas de n’importe quel fil mais bien du fil qui permet aux tisserands de tisser.

Du design textile, plus que jamais à la fois loin et proche des traditions. Du textile qu’on explore par la matière, du coton noble filé à la main en provenance des champs de coton de Parakou ou de Lokossa teinté naturellement avec de l’indigo, de la mangue, du caïlcédrat, du honsukwékwé ou tout simplement du fil polyester auquel se sont mêlés des fils fait de sacs plastiques ou de ciment ou encore de bandes de K7 récupérées.


Du tissage fait à deux, quatre ou six mains, qui permet à chacun d’échanger les points de vue, d’expertiser, d’évoluer. Un tissage en marche vers de nouvelles créations, de nouveaux marchés.

C’est la confrontation d’artistes, designers ou artisans, qui fait la qualité de cet atelier.

C’est une nouvelle fois avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International que nous avons pu réaliser ce projet devenu au cours des ans un vrai programme inscrit depuis 2012 aux accords bilatéraux Wallonie-Bruxelles / Bénin.

Avec

Bénédicte Henderick, artiste-plasticienne

Anne-Sophie Costenoble, photographe

Estelle Chatelin, designer textile

Vincent Baïlou-Beloua, designer

Boris Abas dit Prince Toffa, styliste

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Michèle Populaire

IMAGES COMPOSITES

exposition du 13 au 28 janvier 2017

Trois derniers jours jeudi 26 de 14 à 18H- vendredi 27 de 14 à 18H

et samedi 28 FINISSAGE de 14 à 18H

ASSOCIATION DU PATRIMOINE ARTISTIQUE

7 rue Charles Hanssens à 1000 Bruxelles

www.michelepopulaire.be

Cette façon de créer des passages d'une réalité à l'autre, d'accoler des lieux, de jeter des ponts entre eux et d'enjamber des obstacles nous est bien connue. C'est celle du rêve.

Dans le sommeil, le cerveau produit comme des gerbes d'étincelles des pensées condensées, ainsi que des images innombrables et fugitives. Elles recèlent chacune des univers qui se bousculent, entrent en contact les uns avec les autres et s'éteignent aussitôt, alors qu'on voudrait pouvoir les retenir et s'y attarder pour en goûter davantage la saveur. Le rêve nous affranchit de la gravité, il apprivoise le vertige, et nous permet d'oublier nos propres peurs. Il survole la réalité si matérielle, si tangible et parfois périlleuse sans s'empêtrer, il nous permet de traverser le monde comme si nous étions des anges et de survivre à la violence et la cruauté de l'existence. Il nous suggère nos propres facultés oubliées, et nous fait retrouver une sorte d'innocence, un goût de l'interdit, un appétit pour l'épouvante, une jubilation enfantine face aux tabous ou aux catastrophes. Il suspend délicieusement la morale en même temps qu'il anéantit la pesanteur, et détruit même cette forme de contrôle de soi qu'est le bon goût. Souvent nous désirons prolonger les délices du sommeil, et rester plus longtemps dans cet état de suspension merveilleuse.

Voilà qu'on nous y invite.

Pierre Loze

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EXPOSITION VINCENT STREBELLE

1968-2016

Du 1er décembre 2016 au 1er janvier 2017,jeudi, vendredi et samedi de 14 à 18 heures ET

OUVERTURE exceptionnelle 3 dimanches 11, 18 décembre et le1erjanvier de midi à 18 heures

Association du Patrimoine artistique -7 rue Charles Hanssens

1000 Bruxelles

Les créations de Vincent surprennent par leurs variétés. Néed’idées originales et logiques en même temps, chaque œuvre découle d’une autre, puis à son tour en engendre une nouvelle, comme il se plaît à l’expliquer. On perçoit mieux encore ces liens par leurs titres et les petites phrases, souvent humoristiques ou empreintes de sagesse, qui les accompagnent.

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PIERRE BUCH - PHOTOGRAPHIES

Vernissage jeudi 10 novembre de 18 à 21h.

Exposition du 10 au 26 novembre 2016

Ouvert jeudi-vendredi-samedi de 14 à 18 heures

Ouverture les jours fériés tels que le vendredi 11 novembre

La photographie ne nous met pas devant la réalité, elle ne la montre pas, elle la commente. Elle nous parle autant de celui qui l'a regardée que de ce qu'elle semble faire voir. D'ailleurs, les premiers amateurs qui s'y sont intéressés, à la fin du XIXe siècle, étaient des peintres et en ont fait d'abord un usage purement artistique. En se répandant avec le portrait, la photo de reportage, de paysage, de carte postale, la photo a accrédité les idées populaires sur la capacité qu'elle aurait de nous donner un rendu objectif. C'est ainsi que l'objectif du photographe et l'objectivité ont fait un mariage illusoire et souvent trompeur. La photo, c'est simple. Il n'y a qu'à pousser sur le bouton. On pouvait aussi méconnaître tout ce qui se passait dans l'obscurité du laboratoire. Est-ce un art ? disait-on.

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Exposition HENRI EVENEPOEL  Un destin brisé, 1872-1899

À L’ASSOCIATION DU PATRIMOINE ARTISTIQUE 7 rue Charles Hanssens et CHEZ Eric Gillis FINE ART, 14 rue aux Laines

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Pierre Lizin

Une soirée à l'Association du Patrimoine artistique, rue Charles Hanssens 7 à 1000 Bruxelles, mercredi 25 mai à 20h : dialogue avec Pierre Lizin

Latences / Vortex

2 expositions / 2 lieux

LATENCES à l'Espace Alloué du 12 au 4 juin / vernissage jeudi 12 mai

rue de la Longue-Haie 23 à 1000 Bruxelles

VORTEX à l'Association du Patrimoine artistique du 20 mai au 4 juin /vernissage jeudi 19 mai

rue Charles Hanssens 7 à 1000 Bruxelles

Pierre Lizin Vortex

http://mu-inthecity.com/2016/05/pierre-lizin-recycle-la-ville/

VORTEX
Pour le moment, il n'y a rien que l'on puisse faire, sinon regarder. Comme un elfe, Pierre Lizin pose par ses photos et ses films des constats, sans aucun jugement ni condamnation. Son œil impavide se promène, s'arrête et contemple. C'est nous qui suppléons et qui pouvons y voir une signification dramatique ou prémonitoire.

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Œuvres de Rainer Tappeser à l'Association du Patrimoine artistique

La saison 2014-2015

Voici six ans déjà que nous nous occupons de cet espace d'exposition. On nous pose bien souvent des questions. Vous ne vendez pas ? Mais alors, comment faites-vous? Les artistes vivants que nous exposons peuvent évidemment vendre leurs œuvres, et tant mieux pour eux. Nous nous contentons de les montrer et de partager notre enthousiasme.

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