Association du patrimoine artistique asbl

XIXe - XXe siècle


DE l'ÉCLECTISME Á L'ART NOUVEAU
Victor Van Dyck, artiste décorateur 1863-1943


07/09 > 28/10/2023


VERNISSAGE
le 7 septembre à partir de 18 h


L’exposition de l’Association du Patrimoine artistique intitulée De l’Éclectisme à l’Art nouveau, Victor Van Dyck peintre-décorateur (1863-1943), propose de découvrir les différentes facettes du métier d’artiste décorateur dans le contexte historique et culturel de l’époque. Cette exposition patrimoniale, dont le commisariat est assuré par Pierre Loze, directeur scientifique de l’association, est présentée du 7 septembre au 28 octobre 2023.

Plus de 200 dessins, aquarelles et peintures de cet artiste, conservés par ses héritiers, sont présentés. Ces projets décoratifs sont l'occasion d'aborder la formation d'un peintre-décorateur, la décoration des cafés et brasseries sur les grands boulevards, celle des théâtres anglais, ou encore de découvrir les goûts de l'époque que reflètaient les commandes publiques et privées notamment pour la décoration de maisons bourgeoises.

+ d'information


Catalogue / catalog / catalogus: 230 ill., 16,5 x 24 cm, 112 pp., 10 €

Cette exposition est présentée dans le cadre des évènements Art Nouveau Brussels 2023 organisés par la Région Brusselles-Capitale, qui, par une programmation multidisciplinaire, met en valeur la richesse du patrimoine architectural de la capitale et l’impact de l’Art nouveau sur de nombreux autres domaines artistiques.



COMMUNIQUÉ DE PRESSE ET VISUELS

Vous trouverez ci-dessous, en téléchargement, le Communiqué de Presse de l’exposition et les visuels libres de droits du 22 août au 28 octobre 2023, pour une publication faisant le compte rendu de l’exposition ou son annonce. Nous vous remercions de bien vouloir mentionner les crédits photos précisés.

Communiqué de presse FR
Press release EN
Visuels
Affiche

Toute autre publication doit faire l’objet d’une demande auprès de
Association du Patrimoine artistique
Tél. : +32 (2 ) 512 34 21
e-mail communication.as.pat.art@gmail.com
Contact Daniela Prina



INFORMATIONS PRATIQUES

7 rue Charles Hanssens - 1000 Bruxelles (Sablon)
​jeudi - vendredi - samedi 14:00 - 18:00


Images : La Comédie, la Tragédie, la danse et la Musique, projet de plafond pour leRoyal Theatre à Preston, aquarelle sur papier, Ø 25 cm. // Projet de plafond pour la salle de spectacle duWyndham's Theatre à Londres, aquarelle sur papier. Réalisé et visible. // Étude de femmes à la fontaine, aquarelle sur papier, 18 x 25 cm. // Projet de plafond à solives apparentes avec décor (détail), aquarelle sur papier, 33 x 44 cm.

TOUCHE PAS AU SABLON

Un nouveau projet d'Immobel pour le Sablon est présenté au public:

Toujours la démolition de la rue Lebeau

Sans surprise, c’est en pleine période estivale et dans la discrétion, que la société Immobel invite le public à prendre connaissance de leur nouveau projet de démolition-reconstruction pour le périmètre des rues Lebeau, Paille et Ruysboek: soit le 10 août et le 24 août de 17 à 19h dans le bâtiment d’angle, ancien Taschen

Et pour apaiser les riverains une lettre toutes boîtes a été distribuée en juillet informant les habitants que le projet de tour-hôtel sur la place de la Justice est abandonné.

Les promoteurs, contraints par le Ministre à conserver la partie des bâtiments formant l'angle rue de la Paille et sur une partie de la rue Lebeau, espèrent pouvoir à présent abattre tranquillement les bâtiments bordant le reste de la rue Lebeau.

Ils souhaitent construire des logements disposés en dent de scie en alignant les hauteurs sur l'immeuble du central téléphonique (bâtiment qui ferme malencontreusement la rue de Ruysbroek). Les nouvelles constructions montent ensuite en gradins le long de la rue Lebeau.

Prenant l'air de "nous vous avons compris", après le grand désastre du projet maximaliste, voilà donc leur nouveau projet, qui coupant la poire en deux, abandonne les tours projetées et devrait convenir à tous!

Immobel sous-entend ainsi: Nous avons fait des efforts, il n'y a plus que les nimby (Not In My BackYard - pas près de chez moi) et ceux qui sont contre tout pour s'opposer.

En fait, Immobel résiste toujours à l'idée raisonnable de conserver un ensemble de bâtiments bien construits, aisément rénovables, pour tenter une fois de plus de caler des appartements sur six, sept et huit étages, posés sur des commerces de deux étages. Le tout dominant les toits des maisons d'en face, rue Lebeau, de trois ou quatre étages. Le but: augmenter les bénéfices des actionnaires.

Le projet enfreint encore de nombreuses règles urbanistiques et repose une fois de plus sur des dérogations que les promoteurs espèrent bien obtenir. Mais pour quelles raisons devraient-elles être accordées? Cette société est-elle au-dessus des règles urbanistiques?

La Commission royale des Monuments et Sites a émis le 21 juin 2023 un avis défavorable: projet jugéinacceptable*: voir ci-dessous le résuméLes habitants du quartier, comme les amateurs du Sablon, redoutent toujours un vis-à-vis désastreux avec les maisons de la rue Lebeau, ainsi qu'un chantier déstabilisateur, aussi dispendieux qu'inutile, qui est écologiquement inacceptable.Tout cela pour un projet architectural né de l'appétit de profit!

Ce projet est toujours une offre aveugle de logements, de commerces, de bureaux et de parkings, cherchant d'hypothétiques clients. Il ne repose sur aucune enquête sérieuse sur les besoins réels du quartier et de la ville et se contente d'élaborations architecturales sommaires.

L'Association de Patrimoine artistiqueet les habitants, qui ont lancé le mouvementSauve Lebeau Sablon,persistent à demander une rénovation des bâtiments et une réaffectation des locaux existants en relation avec leurs caractéristiques typologiques et les besoins réels de la ville.

Plus de 5.000 pétitionnaires se sont manifestés, il y a trois ans, pour faire obstacle à l'instrumentalisation de la Ville en vue de réaliser des profits sous couvert de venir ranimer le Sablon.

Ce nouveau projet est le petit frère du précédent, mû par les mêmes intentions, par la même médiocrité.

À nouveau mobilisez-vous, signez la pétition, si ce n’est pas encore fait (signez mais ne versez pas d’argent)

https://www.change.org/p/sauve-lebeau-sablon-gmail-com-bruxelles-le-quartier-du-sablon-a-besoin-de-vous

MAIS SURTOUT envoyez-nous un mail à sauve.lebeau.sablon@gmail.com ou vautier.dominique@gmail.com, nous en aurons besoin en vue de la commission de concertation en septembre.

MERCI D’AVANCE,

LE COMITÉ SAUVE LEBEAU SABLON

Dominique Vautier, Chris Bosma et Pierre Loze

* le projet modifié ne répond pas (ou pas suffisamment) à la demande de la CRMS qui réitère donc sa position:

Malgré le maintien des immeubles Ruysbroeck, la démolition de l’immeuble Lebeau demeure inacceptable pour la CRMS. L’immeuble, dont la qualité constructive (pierres de travertin,...) et la régularité de la courbe, lui confèrent une valeur intrinsèque évidente, appartient en outre à un ensemble cohérent, qui bénéficie d’une implantation dans un site urbain majeur, et qui constitue un témoin de l’importance que l’on a donné au secteur de la communication dès la fin du XIXème et dans ses développements ultérieurs. Cette démolition, outre son impact carbone, altèrerait un ensemble qui revêt en effet une valeur historique, architecturale et patrimoniale. La CRMS a déjà largement exprimé son point de vue dans son avis de 2022 (cf. historique point 3) qui reste d’actualité pour ce qui concerne l’immeuble Lebeau et auquel elle renvoie.

Par ailleurs, l’écriture architecturale des nouvelles façades est de moindre qualité que ce qui n’existe actuellement. La nouvelle façade de la rue Lebeau se développerait en dents de scie, contrairement à la façade actuelle, de belle facture, qui accuse avec élégance et sobriété la courbe de la rue. Elle ne souscrit pas à cette multiplication de redents et à la disparition de la typologie du front bâti linéaire et sobre.

Cette démolition est d’autant plus inacceptable que l’immeuble est inscrit à l’inventaire et constitue la zone de protection d’un bien classé.

illustration : Vous trouverez ci-dessus une copie un dessin d’époque de la façade actuelle revue avec une simple modification des fenêtrages des rez-de-chaussée. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple et à moindre frais? Ces rez pourraient aisément devenir des vitrines d’espaces d’exposition et de commerces.



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L'esprit de l'Art nouveau, Photographies de Gilbert De Keyser

Hommage à l'éditeur Marc Vokaer
Mardi 21 mars 2023 à partir de 17h

Dans le cadre de l'année Art Nouveau Brussels 2023 et de notre exposition des photographies réalisées dans les maisons de Victor Horta par Gilbert De Keyzer, nous vous invitons à venir le rencontrer.


Sans lui, l'ART NOUVEAU n'aurait pas connu son retentissement international actuel. Son activité a débuté à la fin des années 60, et durant une trentaine d'années, il a édité et réédité des ouvrages fondamentaux sur l'Art Nouveau bruxellois et belge. Il a ainsi ouvert les yeux du public sur un patrimoine, alors très négligé, et a contribué à la prise de conscience de son existence et de la nécessité de sa conservation. Parallèlement, il a aussi été un pionnier de la redécouverte de l'architecture Art Nouveau à Paris et à Vienne.


Entrée gratuite sans réservation

XXe

CALCUTTA

Bengali Palaces & Vestiges of Her Majesty's Empire

Photographs by Fabien de Cugnac & François Loze


Du 15 septembre au 29 octobre 2022


Ouverture de l'exposition jusqu'en janvier 2023 sur demande.


Bande annonce en français
Bande annonce en anglais (teaser)
Fabien de Cugnac

Heritage Days/Journées du Patrimoine OFF​ 2022 - Traces de la colonisation - 17 & 18 sept. de 10 à 18 h

La population du Bengale est historiquement la plus imprégnée culturellement en Inde par l’occupation anglaise. Ses élites étaient étroitement liées à la Compagnie anglaise des Indes orientales. À Calcutta se concentrait une population composée des membres de l’administration de la compagnie, de militaires et des grandes familles indiennes, confortablement établies, prenant part au commerce, et finançant même la Compagnie par ses prêts, pour ses opérations commerciales, mais aussi militaires. Cet entrelacement d’intérêts économiques, de proximités et d’influences culturelles mutuelles fut le terreau d’une refondation culturelle qui toucha la philosophie, la religion, les arts, se développant parmi les élites bengalies, dont certaines avaient parfois fréquenté les écoles et universités anglaises. L’émergence d’une classe moyenne formée dans les collèges et les nouvelles universités locales, dont celle de Calcutta, créée en 1857, amplifia le mouvement. Il finit par toucher une large part de la société indienne à la fin du XIXesiècle.

L’attrait pour le patrimoine architectural de Calcutta s’est historiquement porté sur les résidences et édifices officiels anglais datant de la période coloniale plus que sur les grands palais de la ville bengalie. Mais les palais enfuis dans les méandres du nord de la ville, évoquant la Grèce et la Rome antique par leurs formes générales, empruntant aux arts locaux détails et ornementations, n’ont pas manqué de fasciner également les visiteurs. À l’époque de leur construction, ils étaient entourés de jardins mais au XXesiècle, sous l’effet de la pression démographique, du déclin économique et des successions, la ville a petit à petit englouti dans son développement le patrimoine d’une caste qui a perdu son statut économique. La nationalisation d’une grande partie de ses avoirs fonciers et l’abolition des privilèges de cette caste par le nouvel état indien en 1947 expliquent cette évolution urbanistique.

Lors de leurs reportages photographiques en 1990, Fabien de Cugnac et François Loze ont eu la chance d’être parfois introduits dans les intérieurs de réception de ces demeures, plongés dans la pénombre de salons aux persiennes fermées, intacts depuis tant de générations, loin de la chaleur et du tumulte des ruelles avoisinantes. Les portraits des aïeuls, les grands miroirs écaillés par le temps, les lustres, les fauteuils, ce mobilier de style témoignent encore de l’influence occidentale parmi les élites bengalies au XIXe.

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XXe siècle

L'ESPRIT DE L'ART NOUVEAU, PHOTOGRAPHIES DE GILBERT DE KEYSER

Auteur : Pierre Loze
Texte FR
Format 16,5 x 21 cm, 96 pp., 124 ill.
Édition Association du Patrimoine artistique
2023
ISBN : 9782960275353
Prix : 10 €

Bruxelles autrefois

La promenade le long de la rivière bruxelloise continue...

LA SENNE A CIEL OUVERT

de la période française au voûtement (1795 - 1871)

Du 9 décembre au 29 janvier 2022

Les jeudis - vendredis - samedis : 14 à 18 heures

7 rue Charles Hanssens - 1000 Bruxelles (Sablon)

Sans réservation pour les visites individuelles

C’est aux alentours de la Senne, dans les quartiers où l’artisanat tributaire de l’eau s’était développé depuis le Moyen Âge, qu’a débuté la révolution industrielle à Bruxelles. L’étude de cette partie de la ville, de 1795 à 1871, démontre les conséquences très rapides des réformes qui furent imposées par la Révolution française. En quelques décennies,
quantité d’activités industrielles se sont installées dans le tissu urbain médiéval, qui s’est considérablement densifié, et qui a fini par imploser sous l’effet de la surpopulation et de l’insalubrité.

Pour la première fois, une étude minutieuse, maison par maison, met à profit les dossiers de rapports d’expropriation conservés aux Archives générales du Royaume. Elle permet de comprendre le processus de dégradation du tissu urbain et des conditions de vie qui a conduit à la décision d’entreprendre le voûtement complet de la rivière, suite à une vague d’épidémies meurtrières. On y observe la coexistence de modes de vie anciens et d’activités industrielles dans des quartiers de plus en plus densément habités où le débit de la rivière ne suffisait plus à garantir la salubrité.

Cette histoire de la Senne au 19esiècle constitue une suite à l’exposition consacrée à la rivière bruxelloise du Moyen Âge au 18esiècle, qu’elle vient enrichir par une abondante iconographie en partie inédite.
On y découvre l’allure de ces quartiers qui ont disparu, remplacés par les grands boulevards et la Bourse de Commerce dans le but de donner un nouveau visage à la capitale.

Cette exposition est liée aux 150 ans du voûtement de la Senne. D'autres expositions sont proposées par la Région Bruxelles-Capitale, les Musées de la Ville de Bruxelles, les Halles Saint-Géry. #150Senne

Bruxelles autrefois

L’Association du Patrimoine artistique vous invite dans son espace à poursuivre la promenade le long de la rivière bruxelloise. L’exposition La Senne à ciel ouvert du Moyen Age au XVIIIe siècle est prolongée ; elle change progressivement pour aboutir au deuxième volet.

Volet 2

LA SENNE A CIEL OUVERT

de la période française au voûtement (1795 - 1871)

Du 9 décembre au 29 janvier 2022

Les jeudis - vendredis - samedis : 14 à 18 heures

7 rue Charles Hanssens - 1000 Bruxelles (Sablon)

Catalogue en cours d'élaboration

Liste des images : J.-B. Van Moer, aquarelle © Musées de la Ville de Bruxelles - Maison du Roi./L. Ghémar,1867, photographie © KBR, Cabinet des Estampes./G.-P. Burggraaff, lithographie et aquarelle, vers 1820/1825© KBR, Cabinet des Estampes./J.-T. Kämpfe,juillet 1870,photographie © KBR, Cabinet des Estampes. /L. Ghémar,La Veuve Bruggemans à sa fenêtre, détail,1867 ©KBR, Cabinet des Estampes.

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Bruxelles autrefois

Volet 1

LA SENNE A CIEL OUVERT

du Moyen Age au 18e siècle

accompagnée d'un catalogue

Du 14 octobre au 27 novembre 2021

Les jeudis - vendredis - samedis : 14 à 18 heures

7 rue Charles Hanssens - 1000 Bruxelles

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Le Musée des Beaux-Arts de Tournai en péril

Respectons intégralement l'œuvre de Victor Horta. Le génie de cet architecte est incontestable, il échappe trop souvent à la compréhension des gens qui s'occupent de muséographie. Pour le Musée des Beaux-Arts de Tournai, toute percée dans le bâtiment est inacceptable.

merci de signer la pétittion

www.change.org/p/monsieur-paul-olivier-delannois-bourgmestre-de-tournai-contre-l-enlaidissement-du-musée-des-beaux-arts-de-tournai

Monsieur le Ministre-Président et Monsieur le Vice-Président du gouvernement wallon

Avec les inondations catastrophiques que viennent de connaître les villes de Wallonie, nous prenons conscience des travaux d'infrastructure qu'il va falloir réaliser, avec le concours de grands bureaux d'ingénieurs, afin que pareils événements ne se reproduisent plus. Cette prise de conscience nécessitera des choix budgétaires.

Dans ce contexte, il est une dépense dont la Région Wallonne pourrait salutairement faire l'économie : celle de l'adaptation du Musée des Beaux-Arts de Tournai à une vision moderne de la muséologie dite contemporaine.

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l'avenir du Sablon

Des nouvelles du Sablon

Comité Sauve Lebeau Sablon

COMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles le 28 janvier 2021

Demande de permis d’urbanisme de la société Immobel sur le bloc Belgacom au Sablon, rue Lebeau- rue de la Paille – rue de Ruysbroeck

Ce 27 janvier, la Commission de Concertation de la Ville de Bruxellesa invité Immobel à retirer sa demande et à introduire une nouvelle demande de permis d’urbanisme et d’environnement afin que la demande de permis d’urbanisme puisse être soumise à une étude d’incidences.

Le Comité de riverains Sauve Lebeau Sablon salue cette décision qui rencontre ses préoccupations.

  • Tous les riverains et associations présents lors de la réunion de la Commission avaient en effet unanimement demander le refus pur et simple de ce projet démesuré et déraisonnable. Aucune voix n’a été favorable au projet.
  • Le Comité avait encore reçu depuis le soutien de milliers de Bruxellois, de l’association Quartier des Arts, de la Fondation Frison-Horta, d’Europa Nostra Belgium ainsi que de nombreuses personnalités du monde culturel, comme Paul Dujardin (Bozar) et de Peter De Caluwe (La Monnaie.)

Immobel doit retourner à la case départ. C’est une bonne chose!

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