Association du patrimoine artistique asbl
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Paul Philippot
L'architecture à Bruxelles au XIXe siècle : les formes et l'espace«in» Jalons pour une méthode critique et une histoire de l’art en Belgique, Bruxelles, La Part de l’Œil, 2005, p.341-376
Paul Philippot
L'espace flamand et l'architecture des Pays-Bas espagnols«in» Jalons pour une méthode critique et une histoire de l’art en Belgique, Bruxelles, La Part de l’Œil, 2005, p.239-274
Paul Philippot
L'espace flamand et l'architecture des Pays-Bas espagnols«in» Saggi in onore di Guglielmo de Angelis d'Ossat, Rome, Quaderni dell'Istituto di Storia dell'Architettura,1-10, 1983-87, 1987, p. 431-438
Paul Philippot
Les Galeries Saint-Hubert: espace architectural et restauration«in» Galeries Saint-Hubert, histoire et restauration, Bruxelles, Service des Monuments et Sites de la Région de Bruxelles-Capitale, 1998, p.5-8
Paul Philippot
L'architecture à Bruxelles au XIXe siècle: les formes et l'espace«in» Annales d'Histoire de l'Art et d'Archéologie de l'U.L.B., XIX, 1997, p.7-31
Paul Philippot ( sous la dir. de Brigitte D'Hainaut-Zveny)
Préface«in» La place des Martyrs, Bruxelles, CFC-Editions, 1994, p.VII-XI
Paul Philippot
Les formes et l'espace dans l'architecture de l'historicisme«in» catalogue de l'exposition Poelaert et son Temps, Bruxelles, Palais de Justice, 1980, p.102 à 110
Paul Philippot
L'espace flamand et l'architecture des Pays-Bas espagnols«in» Saggi in onore di Guglielmo de Angelis d'Ossat, Rome, Quaderni dell'Istituto di Storia dell'Architettura, 1-10, 1987, p.431-438
Paul Philippot
Saggi sul restauro e dintorni antologia, Scuola di specializzazione per lo studio ed il restauro dei monumentiRome, "Università degli studi di Roma ""La Sapienza"", Bonsignori", 1998
Paul Philippot
Les couleurs de Rome«in» Pénétrer l'art..., 1988, p.445-459
"La couleur d’une architecture est déterminée à la fois par l’histoire singulière de l’édifice et par le contexte urbain dans lequel il s’inscrit. La Rome d’après guerre était caractérisée par des couleurs ocre, jaune et rose, mais à partir des années cinquante, le développement des couleurs synthétiques apporta une modification radicale à cette polychromie. A la fin des années soixante, on commença à voir poindre une approche critique du problème, sous l’impulsion directe des instituts de restauration et d’histoire de l’architecture ainsi que dans le cours des débats, des colloques et des interventions de restauration. L’étude de l’iconographie historique, des documents d’archives et des informations de laboratoire s’est imposée comme le principal instrument permettant de définir les couleurs à restaurer. Toute une série de données importantes ont ainsi été acquises, notamment sur les modalités de présentation des matériaux, sur l’usage imitatif de la couleur elle-même et les rapports particuliers entre matériaux ""nobles"" et plus ""pauvres"". Une casuistique riche et circonstanciée témoigne des diverses solutions chromatiques expérimentées dans les traitements des finitions dont les résultats, pas toujours flatteurs, sont visibles à Rome et à Bruxelles."