Association du patrimoine artistique asbl
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Pierre Loze (avec D. Coekelberghs, sous la direction de)
Catalogue de l'exposition Trésors d'Art des églises de BruxellesBruxelles, Annales de la Société royale d'Archéologie de Bruxelles, T.LVI, 1979
D.Coekelberghs, P. Loze et A. Jacobs
François-Joseph Navez. La nostalgie de l'Italie. Catalogue d’expositionGand, 1999
Pierre Loze, Dominique Vautier, Marina Festre
Guide de Bruxelles XIXe et Art NouveauBruxelles, 1985 et réédition en 1990, 316 p. / 290p.
P. LOZE, sous la direction scientifique, Guide de Bruxelles XIXe et Art Nouveau, Ed. Atelier Vokaer - Commission française de la Culture de l'Agglomération de Bruxelles, Bruxelles, 1985. Direction scientifique de l'ouvrage et rédaction avec D. VAUTIER des 17 promenades à partir d'informations et de textes fournis par D. COLLARD, M. FESTE, V. GOBLET, R., G. PAULUS, M. POPULAIRE, E. RICCARDI, K. SOBIESKI, D. VAUTIER, et d'itinéraires préparés par D. VAUTIER et M. FESTRE, 316 p.; réédition revue et augmentée, Ed. Eiffel-CFC, Bruxelles, 1990, 290 p.
Pierre Loze, en collaboration avec Luc Schuiten, Gauthier Chapelle et Fabrice Wagner
ArchiborescenceMardaga, 2006, 166p
Etude de maisons individuelles à partir de structures vivantes,
Réalisation de maisons autour d’un arbre,
Etude de maison Bioclimatique,
Jardins verticaux recréés en ville et sur les routes,
Les cités archiborescentes,
Le Bio-mimétisme, la méthode d’approche pour des réalisations dans le futur.
Pierre Loze et Thierry Aughuet
Christophe Gevers designerBruxelles, éditions d'Art Laconti, 2008, 151 pages
Recherches et coordination Michelle Fener-Weinstein et Philippe Niels
En 1958, l’année de l’Exposition Universelle, Christophe Gevers ouvrait la brasserie Le Cap d’Argent à Bruxelles, dont il avait lui-même dessiné l’essentiel du mobilier et conçu l’aménagement. Un succès immédiat. Le public découvrit là un modernisme chaleureux, confortable, mettant en œuvre des matériaux nobles et durables. L’année suivante, Gevers dessinait sa première chaise pour La Taverne des Beaux-Arts. Un chef-d’oeuvre. Les prix de Design, la proposition d’enseigner à La Cambre s’en suivirent. Christpophe Gevers put alors se consacrer complètement au design. Avec le même talent, le même sens des matières, il réalisa d’autres aménagements, brasseries, restaurants, restaurants d’entreprise, auditorium, cinémas. Restés intacts Le Vieux Saint Martin, La Marie Joseph, Le Canterbury témoignent toujours de son style qui n’a pas pris une ride.
Une carrière étonnante, faite de succès, d’amitiés fidèles, que ce livre retrace.
Christophe Gevers dit volontiers préférer les chiffres aux lettres, le croquis coté aux intentions verbales, le devis de l’artisan aux considérations de l’esthète. Et pourtant, sa carrière commence manifestement avec une étonnante création verbale : l’assemblage des mots qui désigneront le premier café-restaurant qu’il a conçu à Bruxelles : Le Cap d’Argent. Cet endroit a fait rêver bien des générations depuis son ouverture en 1958, non seulement par son aménagement, mais aussi par son nom qui n’a d’ailleurs pas fini d’exercer sa séduction. Dans les années 60 et 70, le Cap d’Argent qui se situait en face du palais des Beaux-Arts a vu défiler tous les grands artistes, solistes classiques, musiciens de jazz artistes plasticiens les plus renommés qui en ont tiré, le temps d’une soirée à Bruxelles, l’impression d’une ville bénéficiant d’une élite bruxelloise brillante, ouverte à tout ce qui se fait de mieux. J’ai personnellement toujours su gré à Christophe Gevers, que je ne connaissais alors que par ses créations, de me permettre d’entretenir ainsi auprès des visiteurs étrangers l’image, parfois un peu imméritée, d’une ville où une sorte d’excellence existe et tient le cap.
Pierre Loze
Guide de promenades vertes aux alentours de BruxellesBruxelles, Ed. Eiffel, 1992, 224 p.
En réalisant ce travail, les auteurs de ce guide ont accompli un double objectif : cet ouvrage est un précieux outil de loisir, mais aussi il attire auss l'attention sur ces zones de campagne dont l'intégrité mérite d'être préservée, avec d'autant plus de vigilance qu'elles constituent les premières réserves vertes que l'on rencontre en sortant de la ville.
L'approche qu'il propose nous rend sensibles aux beautés de la nature à travers le regard qu'ont porté sur elles les poètes et les peintres en particulier Paul de Gobert. Lui-même, sur les traces de Van Eyck ou de Dürer, s'est mis à dessiner les herbes et les fleurs sauvages, les buissons de ronces ou d'orties, et toutes ces plantes qui ornent si rarement les jardins proprets. A travers ses encres de Chine, il nous fait vivre les saisons, sentir le vent, goûter l'air humide, regarder le ciel, observer les nuages, contempler les arbres, les prairies, et nous rend ainsi attentifs aux qualités d'un environnement naturel que nous négligeons de plus en plus
Paul Philippot, Denis Coekelberghs, Pierre Loze et Dominique Vautier
L'architecture religieuse et la sculpture baroques dans les Pays-Bas méridionaux et la principauté de Liège, 1660-1770Mardaga, Sprimont, 2003, 1167 p.
Public concerné : amateurs d'art, collectionneurs, antiquaires, historiens de l'art, antiquaires, conservateurs de musées, universités, revues d'art et de décoration, salles de vente…
L'ouvrage comporte des introductions destinées au grand public, permettant à toute personne qui s'intéresse au sujet d'y pénétrer aisément avant d'accéder aux parties plus spécialisées. Les notices biographiques des sculpteurs permettent d'utiliser le volume comme un dictionnaire et les index des œuvres classées par lieux permettent de l'employer comme un guide des sculptures conservées dans les églises de toute la Belgique, du Nord de la France et du Sud des Pays-Bas, ainsi que dans de très nombreux musées et collections privées partout dans le monde.
Cet ouvrage propose pour la première fois une vaste étude globale de l’architecture religieuse et de la sculpture à l’époque baroque telles qu’elles se sont développées dans une région correspondant aux territoires de l’actuelle Belgique et des villes devenues françaises aux XVIIe et XVIIIe siècles. L’intérêt de l’ouvrage réside dans l’attention qu’il réserve non seulement aux grands édifices religieux construits sous l’impulsion des Archiducs Albert et Isabelle, mais aussi au mobilier architectural (autels, confessionnaux, chaires de vérité etc.) qui emplit les églises. Celui-ci est souvent l’œuvre non seulement d’excellents artisans, mais de sculpteurs de grand talent. Et devant la redécouverte de leurs statues en marbre ou en bois, de leurs ébauches et modelli en terre cuite, de leurs dessins, on reste confondu par leur variété et leur qualité. On s’étonne aussi du faible intérêt que les historiens de l’art ont manifesté à l’égard de tout ce patrimoine. Il était urgent qu’une telle publication voie le jour.
Les auteurs ont eu a cœur de présenter ce volet de l’histoire de l’art des XVIIe et XVIIIe siècles de la manière la plus complète possible. C’est pourquoi, après une présentation du contexte culturel et historique où le rôle-phare joué par Rubens est mis en évidence, il était important que le lecteur puisse bénéficier d’une vision claire du cadre architectural destiné à accueillir les réalisations des sculpteurs. La présentation de l’évolution typologique et stylistique des meubles d’église permet ensuite d’en suivre les développements et de distinguer la part que prirent à certains moments-clés les plus fortes personnalités qui réussirent à franchir le pas qui sépare la production artisanale de la création proprement artistique. Enfin, grâce à la présentation chronologique de la carrière et de l’œuvre de plus de 150 artistes, le lecteur peut se faire une idée de l’ensemble de la production de deux siècles de l’art de la sculpture, de voir s’imposer les grandes figures et d’observer la marque que celles-ci exercèrent ensuite sur leur temps. Les notices consacrées à chacun d’eux sont autant de biographies critiques bâties sur une documentation exhaustive complétée par nombre d’informations et d’observations nouvelles. Des tables et une imposante bibliographie achèvent de faire de ce livre un outil indispensable à tout qui s’intéresse à l’art baroque.
Seule une parfaite coordination des recherches et de la rédaction pouvait permettre la réalisation d’un tel ouvrage. Ce ne fut pas un problème pour les quatre auteurs qui signent ensemble ce livre et pour qui l’art des Pays-Bas et l’analyse de ses rapports notamment avec l’Italie sont l’objet de recherches qu’ils mènent en commun depuis plus de vingt ans. Le lecteur aura tôt fait d’apprécier l’unité d’approche qui garantit la cohérence des différentes contributions. Il sera aussi frappé par l’ampleur de la documentation et de l’iconographie réunies au fil des ans. La lecture de l’ouvrage est d’autre part facilitée par une mise en page qui a veillé à placer au maximum les illustrations en regard des textes. On trouvera sur le site internet de l’Association du patrimoine artistique (www.apa.tf.be) tous les renseignements souhaitables sur les auteurs et leurs publications d’ouvrages et de catalogues d’expositions.
Cet ouvrage a pu être réalisé grâce au soutien de la Fonds National de la Recherche Scientifique, de Monsieur Hervé Hasquin, Ministre-Président de la Communauté française Wallonie-Bruxelles, ainsi que de Monsieur Willem Draps, Secrétaire d’Etat de la Région de Bruxelles-Capitale, Ministère de l’aménagement du Territoire et du Patrimoine.